Par Daniel Richard
[Chaque année, l'Onem verse] pour quelque 6 milliards des allocations de chômage.
Depuis 2004, les travailleurs sans emploi sont contraints, pour les recevoir, de prouver qu'ils cherchent activement ce qui n'existe pas et que le capitalisme détruit : l'emploi. Sans quoi, ils peuvent être exclus et privés de toutes ressources !
Dans le même temps, les entreprises reçoivent sous forme de réductions de cotisations sociales 7 milliards de cadeaux. Elles, elles ne doivent rien prouver. Elles ne doivent même pas créer d'emploi. Si elles en détruisent, c'est pas grave. Elles ne doivent pas restituer ces sommes quand, comme c'était le plan d'Inbev, elles menacent de délocaliser l'emploi vers des pays à bas salaires. Elles ne doivent rien rendre quand, comme c'est le cas d'Opel, elles décident de fermer boutique et de laisser des milliers de travailleurs sur le carreau.
Depuis 2004, les travailleurs sans emploi sont contraints, pour les recevoir, de prouver qu'ils cherchent activement ce qui n'existe pas et que le capitalisme détruit : l'emploi. Sans quoi, ils peuvent être exclus et privés de toutes ressources !
Dans le même temps, les entreprises reçoivent sous forme de réductions de cotisations sociales 7 milliards de cadeaux. Elles, elles ne doivent rien prouver. Elles ne doivent même pas créer d'emploi. Si elles en détruisent, c'est pas grave. Elles ne doivent pas restituer ces sommes quand, comme c'était le plan d'Inbev, elles menacent de délocaliser l'emploi vers des pays à bas salaires. Elles ne doivent rien rendre quand, comme c'est le cas d'Opel, elles décident de fermer boutique et de laisser des milliers de travailleurs sur le carreau.
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