On nous l'annonce par petites touches : il va falloir la payer l'ardoise de la crise! 500 millions par-ci, 1,5 milliard par là et de 7 à 10 par ailleurs, les caisses sont subitement vides! Et dans tous les pays qui ont trouvé des dizaines de milliards en un tour de main le dimanche soir pour sauver le capitalisme et ses banques de la déroute, c'est la même rengaine.
La crise avait disparu des écrans le temps du scrutin européen, elle est de nouveau là avec sa vague de licenciements, de restructurations (prétextes ou pas), ses exigences de précarité accrue...
On fait quoi?
Chacun son tour? A la queue, comme tout le monde?
fRED
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire